L’abandon de l’indicateur appelé « Nodu » n’est évidemment pas un bon signal pour l’environnement. Pour autant nous devons entendre que nous ne pouvons imposer à nos agriculteurs ce qui n’est pas imposé aux agriculteurs des voisins européens.

Retenir l’indicateur européen est évidemment moins bien mais nous continuerons de mesurer l’usage des pesticides et il faut maintenant ouvrir un véritable dialogue environnemental et ne pas rester dans un statu quo qui reste insatisfaisant.

Nous demandons qu’un Grenelle de l’environnement soit ouvert avec l’agriculture comme premier sujet. Nous demandons par ailleurs que l’enveloppe de 250 millions d’euros annoncé pour la recherche d’alternatives fasse l’objet d’un pilotage ouvert associant tout le monde agricole et les ong environnementale afin que soit validé en toute transparence les priorités des programmes de recherche et les progrès accomplis .

Yann Wehrling, tête de liste Écologie positive & Territoires aux européennes

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